lundi 19 octobre 2015

LE HASARD

Parfois le hasard fait bien les choses ne trouvez-vous pas , car en "surfant" je tombe sur ce merveilleux pianiste Monsieur Frédéric AGUESSY.
A écouter avec plaisir.

 
 

samedi 17 octobre 2015

DEPUIS LES ANTIPODES

Jacques POTTIER, expat en Australie depuis de nombreuses années, ancien ténor à l' opéra de Paris puis professeur de chant, chante ici la France très ancienne puisqu' il a choisit  Joachim du Bellay un poète français né vers 1522 à Liré en Anjou et mort le à Paris. Sa rencontre avec Pierre de Ronsard fut à l'origine de la formation de la Pléiade, groupe de poètes pour lequel du Bellay rédigea un manifeste, la Défense et illustration de la langue française. Son œuvre la plus célèbre, Les Regrets, est un recueil de sonnets d'inspiration élégiaque et satirique, écrit à l'occasion de son voyage à Rome de 1553 à 1557.





 
 
LA BIOGRAPHIE DE JACQUES :
Né à Darnétal, près de Rouen, Jacques Pottier est très vite attiré par le théâtre et la musique. À l’âge de treize ans, il mène une revue intitulée Comme les grands au Théâtre-Français de Rouen, où il danse aussi des claquettes. En 1954 il est admis au Conservatoire de Paris dans la classe de Ketty Lapeyrette, tout en prenant des cours à Rouen avec Rose Pocidalo (aux côtés de laquelle il débute dans Werther en 1957). Jacques Pottier eut pour maîtres Paul Cabanel, Jean Claverie et Maurice Faure. Après avoir remporté son Premier Prix de chant en 1956, il bénéficie d’une bourse d’études pour l’Académie Chigiana de Sienne, où la grande cantatrice Gina Cigna le remarque et l’invite à venir travailler avec elle à Milan.
Après des débuts à Rouen, Jacques Pottier chante à Lille dans le rôle de Calaf de Turandot (1961). L’année suivante, il entre à l’Opéra de Paris où il interprète le rôle de Valzacchi, l’intriguant italien dans Le Chevalier à la rose de Richard Strauss aux côtés d’Elisabeth Schwarzkopf. Jusqu’en 1972, il y chante tous les rôles principaux du répertoire : Rigoletto, Carmen, Tosca, Faust, Tannhäuser, Falstaff, Tristan et Isolde, La Bohème, Les Contes d'Hoffmann. Jacques Pottier chante également ces œuvres en province et à l’étranger de 1957 à 1972, ainsi que I Pagliacci, Cavalleria Rusticana, Il Trovatore, Aïda, Der Fliegende Holländer, Lucia di Lammermoor, Prométhée ou encore le Requiem de Verdi et la 9e Symphonie de Beethoven.
 Il est l'auteur d'une technique de chant qu'il expose dans un livre autopublié Discover your true voice (découvrez votre véritable voix) en 1991. En 1999 il dirige des Master Classes et chante plusieurs récitals de musique sacrée au Festival International Albert Roussel, à Londres, en Belgique et en France, tournée qui marque la fin de sa carrière.
Membre de l’Union Professionnelle des Maîtres du Chant Français, Jacques Pottier est Chevalier de l’Ordre de L’Education Civique et Chevalier de l’Ordre des Arts et des Lettres.


vendredi 9 octobre 2015

VIOLON ET PIANO

Le violon et le piano se complètent et font bon ménage si j' ose dire. En voici la preuve avec Messieurs Alexis Galpérine violoniste français né à Paris en 1955 et Frédéric Aguessy pianiste né à Paris en 1956 .

 

dimanche 4 octobre 2015

RETOUR AU JAZZ

THE MAN I LOVE

Alexandre THARAUD
https://youtu.be/WlIW2BI3Nto
 
En 1919, à son retour du Brésil, où il avait été impressionné par le folklore et une chanson populaire de l’époque, O Boi no Telhado, le compositeur Darius Milhaud avait formé à Montmartre, avec ses amis compositeurs, un groupe appelé ultérieurement « Les Six ». Il proposa cette mélodie à Jean Cocteau, principal animateur du groupe, pour le projet de ballet-concert que celui-ci conçut de réaliser avec ces amis pour prolonger le succès de Parade. Le ballet adopta le titre Le Bœuf sur le toit, traduction littérale du nom de la chanson brésilienne. À partir de février 1921, on put souvent entendre Milhaud en interpréter, en compagnie de Georges Auric et d’Arthur Rubinstein, une version à six mains à la Gaya, un bar situé au 17 rue Duphot appartenant à Louis Moysès. La présence de Cocteau et de son cercle rendit la Gaya très populaire et, lorsque Moysès transféra, en décembre 1921, son bar 28 rue Boissy-d’Anglas, il le renomma le Bœuf sur le Toit, sans doute pour s’assurer que Milhaud, Cocteau et leurs amis l’y suivraient, ce qu’ils firent. Le Bœuf était né. Au fil du temps, cet établissement est devenu une icône culturelle.